Les « grandes figures féminines de l’opposition extrémiste togolaise avaient lamentablement échoué en mai dernier dans leur tentative de mobilisation de leurs copines pour demander à la Gendarmerie nationale de libérer les personnes inculpées encore en détention dans l’affaire des incendies criminels de Kara et de Lomé. Les regroupements CST et Arc-en-ciel entendaient utiliser une fois encore la nudité des femmes d’autrui pour s’accaparer de l’innocence ou se l’arroger dans une affaire où ils disent connaître les coupables sans jamais les dénoncer.

La stratégie de l’opposition radicale a été toujours de dénier leur propre identité, voire tout ce que l’intelligence humaine leur a permis d’acquérir. Le dernier des renégats de l’opposition, Kaboua Abass avait voulu combattre la crédibilité de ses acolytes Fabre, Ajavon, Afangbedji et consorts, pour se tailler un manteau d’opposant radical.  Ayant leur propre procureur et leur propre commission d’enquête, les inculpés libres du CST et Arc-en-ciel travaillent à se servir du défaut de publication du rapport des enquêteurs français et israéliens pour crier à la machination de la part du Gouvernement pour les écarter de la course aux législatives qui ont eu lieu le 25 juillet 2013 où le peuple togolais a préféré le vertueux programme de l’Union pour la République (UNIR) – parti présidentiel aux casseroles vides et crevées du CST et autres.

Les manifestantes en noires des femmes de ce collectifs ainsi que leurs médias avaient bien fait de préciser, à la marche de la semaine dernière, que c’est une marche des « femmes du CST ». C’est dire qu’elles ne représentent qu’elles-mêmes, même pas les femmes victimes des incendies criminels des marchés de Kara et de Lomé en janvier. Les femmes togolaises, quant à elles, vaquent à leurs occupations.

source: www.togopage.com

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