plaidoyer enfants

Ce 16 juin, l’enfant africain est à l’honneur dans le monde entier, une occasion pour les pays africains de se pencher sur le problème de violation des droits de l’enfant. Depuis lundi, la ministre en charge de l’Action sociale Dédé Ekoué a tonné le ton de la célébration de cette journée au Togo, placée sous le thème « ensemble, intensifions notre lutte contre les grossesses et les mariages précoces ».

 

Les enfants, relèves de demain, les enfants africains, un espoir pour un Afrique nouveau, sont malheureusement victimes de nos jours par divers maux qui nuisent à leur épanouissement. En Afrique, les enfants sont livrés à des travaux forcés et les filles sont victimes de mariages et de grossesses précoces, situations qui ne leur permettent pas de se développer dans la société.

A l’occasion de cette 25ème édition de la Journée mondiale de l’enfant africain ce 16 juin, l’Afrique a décidé de réfléchir autour du thème : «Vingt-cinq ans après l’adoption de la Charte Africaine des Droits et du Bien-être de l’Enfant : Accélérons nos efforts pour éliminer les mariages des enfants en Afrique».

Au Togo, la ministre de l’action sociale et en charge de l’enfant, Dédé Ekoué, a lancé lundi dernier, les festivités marquant cette journée.

« Ensemble, intensifions notre lutte contre les grossesses et les mariages précoces », tel est le thème national choisi par le Togo pour la célébration de cette 25ème édition, puisqu’au Togo, 25,2% des filles de 20 à29 ans se sont mariées avant l’âge de 18 ans et 8,1% des femmes de 20 à 49 ans se sont mariées avant l’âge de 15 ans selon la ministre.

Egalement au cours de cette journée, le travail des enfants, l’une des formes de violation des droits des enfants en Afrique, sera au cœur des discussions au Togo.

Respecter les droits des enfants, c’est offrir un avenir meilleur à sa nation !

Tag #25ème Journée de l'enfant africain #Journée mondiale de l’enfant africain #l'enfant africain #lome infos