violence faite aux femmes

Les violences faites aux femmes ne connaissent ni les frontières, ni les classes sociales, ni les religions. La meilleure façon de contrer ces pratiques barbares est d’informer ceux qui, d’une façon ou d’une autre, possèdent une certaine influence en raison de leur statut.

C’est la démarche du ministre de l’Action sociale, Dédé Ekoué, qui a organisé mardi une réunion à l’attention des autorités et des chefs religieux.

Environ quarante leaders religieux et traditionnels ont pris part aux discussions. Ils devront relayer le message de tolérance auprès de leurs fidèles.

Cette action est menée en coopération avec l’UNFPA.

Au Togo, l’étude sur les violences basées sur le genre (VBG) réalisée en 2010 révèle que selon les répondants diverses formes de VBG sont pratiquées (psycho morale 91%, économique 34%, physique 41%, sexuelle 33%, institutionnalisée 20%) ; à cela, il faut ajouter les mutilations génitales, 6,9%.

‘Pour promouvoir l’adoption des comportements corrects, il nous faut activer tous les leviers possibles, l’éducation, la religion, la tradition, les medias et le monde associatif’, a souligné la ministre.

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